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22 novembre 2008 6 22 /11 /novembre /2008 10:47

EXPOSITION du 15 AU 30 NOVEMBRE
LES SAMEDIS ET DIMANCHES DE 10 H A 12 H et DE 14 H A 18 H

 

 

 

 

 

 Le travail d’Anne n’est pas d’un abord facile. Elle ne cède pas à la tentation de la séduction, et du joli. C’est une peinture intérieure sans concession, entière, brute parfois  dérangeante. Mais quelle puissance, quelle aventure esthétique  que de prendre le temps de regarder  sa série Comme un fleuve   

Oui,  Il nous faut prendre son temps, aller à petits pas vers elle, pour l’apprivoiser.  Il y a l’eau, la couleur, le vent, l’herbe ... L’idée du paysage est très présente dans cette exposition.

  Ce qui compte, c’est cette expérience sensorielle et émotive que l’on fait lorsqu’on dépose tous préjugés, et que l’on entre en connexion avec le mystère de ses tableaux.

On  ne se lasse pas d’interroger la matière, tantôt fluide, presque transparente,tantôt plus épaisse. On essaie de découvrir sous les recouvrements colorés, ce qui se passe derrière, ce qui s’est passé avant le geste final.

 De la débauche de couleurs se dégage une sensualité à fleur de peau, et Anne sait  nous transmet dans sa peinture son plaisir de peintre.

 A travers la pâte de sa peinture, Anne nous parle du temps, du temps laissé au temps, à l’huile qui a pris son temps pour sécher, du temps laissé à l’homme avant son départ ultime.

 Comment ne pas être saisi par l’effroi dans la série de chevaux de cette artiste qui nous fait partager dans sa peinture l’indicible de la peur de la perte d’un être aimé que l’on sait condamner rendant hommage à son père.C’est le talent de cette artiste d’être au plus près de la condition humaine, et de nous en faire sentir physiquement l’animalité (série de ces petits formats). 

 Ces tableaux nous attirent  et  pourtant nous laissent à distance. Sa peinture est soumise à la richesse  des métamorphoses pour exprimer ce que cette artiste a à nous communiquer silencieusement.

On fait physiquement l’expérience du proche et du lointain pour tenter une compréhension de ce qui nous échappe.

Allez à petits pas, pour être au plus près de cette peinture, et en comprendre l’âme, reculez pour avoir une vision d’ensemble des couleurs roses qui s’acoquinent au vert,  dans un flux immobile.

 La peinture d’Anne est un continent  mystérieux queje vous invite vivement à aller découvrir.

                                                                                                                      Chantal MOULIN

 

   Extrait de la série "Comme un fleuve 1mx1m   500euros                                                

 

 

                                                                          Extrait de la série "Etats d'Anne" 20x20cm 6O euros Anne Michaud huile 

                                                                                       

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22 novembre 2008 6 22 /11 /novembre /2008 10:31
e Centre d'arts plastiques de Saint-Fons
et le Groupe MOI
 
vous proposent la performance
 
The Tragical History of Hamlet, Prince of Denmark
 
Lundi 24 novembre à partir de 19h (et jusqu'à 22h)
Hall des fêtes, 69190 Saint-Fons
(plan ci-joint)
 
metteur en scène et comédien invité : Jean-Philippe Salério

 

 

 

 

The Tragical History of Hamlet, Prince of Denmark, est une pièce de théâtre de William Shakespeare (1564-1616).
Hamlet y developpe plusieurs monologues, tous centrés sur de grand thèmes existentiels   :
 
le vide de l’existence 
le suicide
la mort
la souffrance
l’action
la crainte de la mort
la crainte de l’au-delà
l’avilissement de la chair
le triomphe du vice sur la vertu
l’orgueil et l’hypocrisie de l’être humain
la difficulté d’agir  
 
Le Groupe moi nous en livre leur interprétation.
C'est un collectif d’artistes associé à la programmation du Centre d’arts plastiques  de Saint-Fons pendant deux ans. Il proposera installations dans l’espace public, expositions, performances ...

 

Programmation hors les murs pendant travaux 
Avec le soutien de la DRAC et de la Région Rhône-Alpes.
Remerciements : Compagnie des Transformateurs, Théâtre Jean Marais, Angelina Herrero, ection DTMs et DMA du Lycée Lamartinière Diderot, Compagnie Scènes, Théâtre de Vénissieux, NTH8 et Simon Hanson 
Renseignements : 04 72 09 20 27
entrée libre
 
 
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18 novembre 2008 2 18 /11 /novembre /2008 20:50
en pleine page du Monde  de ce week-end un article intitulé « Face à la crise, vive la culture


Lire l'article en cliquant sur le lien ci-dessous

http://www.lemonde.fr/opinions/article/2008/11/14/face-a-la-crise-vive-la-culture_1118709_3232.html
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15 novembre 2008 6 15 /11 /novembre /2008 14:01
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13 novembre 2008 4 13 /11 /novembre /2008 16:48
 Du 15 au 30 novembre

FETE DES FEUILLES
DU 15 NOVEMBRE AU 30 NOVEMBRE
PARC DE LA TETE D'OR

9H 16H30
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4 novembre 2008 2 04 /11 /novembre /2008 11:20

Le CENTQUATRE est un lieu de création et de production artistique unique au monde. Ouvert à tous les arts, cet espace de 39 000 m² compose un ensemble architectural inédit où l’art vient à la rencontre des publics. Le projet des deux directeurs, Robert Cantarella et Frédéric Fisbach, s’attache tout particulièrement à faire de la singularité des langages artistiques présents au CENTQUATRE, le lieu d’une expérience ancrée dans le quotidien. Un lieu où la dynamique artistique bouscule les frontières entre les arts et les publics. Ainsi au CENTQUATRE l’art et la culture s’ouvrent aux spectateurs mais aussi aux passants et aux curieux. Cette orientation forte impulse des modes de fabrication, de production et de visibilité de l’art résolument nouveaux. Les espaces d’accueil et de travail du CENTQUATRE ainsi que l’ensemble des programmes, fêtes et évènements seront pensés dans cette dynamique artistique. Cette approche entend multiplier les voies d’accès à l’art et permettre des ouvertures inédites vers la création contemporaine.

Une trentaine de projets artistiques seront développés chaque année, pouvant occasionner la présence simultanée sur le site de près de 200 artistes venus du monde entier. Lieu de production, le CENTQUATRE donnera aux artistes les moyens techniques, financiers et humains de créer une œuvre. Les moyens également d’imaginer des modes de production et de coproduction inédits. Durant la durée de leur séjour, les artistes utiliseront les différents espaces mis à leur disposition en fonction de leurs besoins. Ces espaces pourront être adaptés selon les orientations artistiques choisies et les étapes de travail. Chaque artiste est ainsi libre d’en exploiter la plasticité et de leur donner une destination éphémère et réversible. Parallèlement aux ouvertures d’ateliers, trois festivals ponctueront l’année en proposant les travaux finis des artistes présents au CENTQUATRE.

http://www.104.fr/fr
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30 octobre 2008 4 30 /10 /octobre /2008 18:18
Le week end s'annonce froid.  Alors sivous n'avez pas envie de mettre le nez dehors, peut être aurez vous envie de lire l'article pasionnant ci-dessous.
site de la maison populaire  dont est extrait l'article ci-dessous :

http://www.maisonpop.net/index.php


Rien n’est obligatoire ou catégorique en art

À la rencontre de l’œuvre...

L’appellation « art contemporain » désigne l’art depuis les années 1980, ce n’est pas un style en soi tant la production artistique actuelle est diverse. Dans les années 1980, les artistes se détournent du modernisme pour entrer dans la post-modernité. Si le modernisme était une course à la nouveauté, le postmodernisme se caractérise par une appropriation des formes préexistantes, qu’elles soient issues de l’histoire de l’art ou de la vie quotidienne.
« Moderne » et « post-moderne » sont des appellations trouvées par les historiens de l’art, cela ne reflète pas forcément la réalité qui a de multiples facettes. Durant l’époque moderne et depuis toujours, on a cherché à faire du nouveau tout en s’inspirant des anciens. Nous n’avons jamais été modernes, nous avons toujours été postmodernes, et inversement.

Rien n’est donc obligatoire ou catégorique en art.

L’art ne fait pas non plus partie du monde de la mode, d’ailleurs, même les plus éminents spécialistes ont bien du mal à déceler des courants, des mouvements et à faire des généralités sur la création actuelle, l’histoire s’écrit toujours avec un temps de décalage. Ce temps nécessaire pour théoriser l’art permet aussi de légitimer les artistes, certaines œuvres qui sont exposées aujourd’hui dans les centres d’art le seront un jour dans les grands musées. Il en a toujours été ainsi de la reconnaissance des artistes, ils ne sont pas admis par le plus grand nombre à leur époque, les impressionnistes à leur époque étaient rejetés, alors qu’aujourd’hui leurs images sont parmi les plus reproduites.

Cependant on observe qu’il y a beaucoup d’a priori sur l’art aujourd’hui, beaucoup de préjugés, certaines œuvres qui ont plus de cent ans continuent de choquer. N’est-ce pas le rôle même de l’art que de questionner, de bouleverser, renverser, troubler, bousculer... en somme de nous donner à penser ? À ce titre, l’artiste n’a pas la place qu’il devrait dans la société. Tel ou tel chanteur à succès, ou autre starlette ont plus de tribune et d’espace pour exprimer leur point de vue. Si l’art est le miroir de la société, son absence dans les médias est problématique, l’art contemporain est totalement inconnu du grand public, on voit Lorie au journal télévisé, mais aucun plasticien.
Alors sans avoir jamais appris à regarder, comment recevoir les œuvres et les comprendre ? Qu’est ce qu’une œuvre, qu’est ce qu’une exposition ? Y’a t-il un « code » à déchiffrer, une « clef » à trouver ?

Une expérience d’altérité...

L’art est un mélange de concept d’affect et de percept, c’est une expérience, une altérité. Toute œuvre de l’esprit résulte d’une pensée construite, il y a ce qui est dit et comment c’est dit, le signifié et le signifiant. Dans une œuvre réussie, la forme et le contenu sont en adéquation, sans toutefois être trop littérale. Si l’art est un langage, il s’agit pour l’artiste de « parler » avec des formes, des matières, des couleurs. Cependant, même si une œuvre contient un discours philosophique, elle ne se lit pas comme un texte, ou alors elle doit se lire comme un poème, l’œuvre est aussi support au rêve. Cette adaptation parfaite entre le « message » et la manière dont il est exprimé est ce qui différencie l’œuvre d’art d’une production « amateur » ou d’un travail d’étudiant.
L’art est aussi un milieu professionnel, les historiens de l’art, critiques et commissaires d’exposition sont les spécialistes qui interviennent dans le système de reconnaissance des œuvres et des artistes. Le marché de l’art est le fruit de ce système de légitimation. Un artiste est soutenu par un commissaire qui va exposer son travail, d’autres curateurs vont voir les œuvres, les apprécier, les montrer... Plus l’artiste est exposé plus sa cote sur le marché augmente.
Une œuvre d’art est un travail, elle est le fruit d’une réflexion parfois longue de plusieurs années et fait partie de l’œuvre-vie de l’artiste. Cette recherche commence pendant les études des Beaux-arts qui peuvent durer aussi longtemps que médecine. L’art impose le respect car le monde n’existe que parce qu’on le re-présente.
Une œuvre peut être poétique, politique, philosophique, totémique, etc, le but n’est jamais pédagogique mais toujours de faire sens. Ce sens n’est pas arrêté, il n’y a pas une vérité sur l’art, il y a des définitions de l’art, des histoires de l’art. L’esthétique qui est la philosophie de l’art était à son origine l’étude du beau, aujourd’hui cette discipline est un véritable questionnement, l’art contemporain est pluriel, complexe, c’est un champ de discussion, de divergences.

Une mise en espace pour produire du sens...

Une exposition d’art contemporain est composée de plusieurs œuvres, d’un seul artiste dans le cas d’une exposition personnelle, ou de plusieurs artistes dans le cas d’une exposition de groupe. Ces œuvres sont mises en espace de manière à produire du sens, c’est la scénographie. Chacune des œuvres est en elle-même une constellation de significations, leur regroupement dans l’espace d’exposition est aussi producteur de sens. Une exposition est la combinaison du visuel et du discours, du perceptif et du sens. Une exposition est avant tout une expérience perceptive, elle doit être un événement visuel cohérent, elle doit tenir par des liens plastiques, les relations spatiales et les données physiques des œuvres. Les œuvres produisent des sens et des ambiances différents selon les relations et interactions avec celles qui les avoisinent, elles dialogues entre elles.
La vision du visiteur est d’abord synthétique et globale, il s’agit de le mettre en disposition de regarder l’œuvre, l’exposition est une captation. Si l’exposition est d’abord une expérience visuelle, elle doit tout de même garder un certain équilibre entre pensée et sensation physique, il ne s’agit pas uniquement d’une recherche d’efficacité plastique ou d’effet.
Le commissaire d’exposition produit un discours complémentaire de celui déjà présent dans l’œuvre, il doit donc exprimer son propre regard tout en veillant au respect des œuvres, des artistes, de ce qu’ils mettent dans leurs oeuvres et de leur historicité. Certaines expositions font date dans l’histoire de l’art et sont emblématiques de certains mouvements. Depuis les expositions d’Harald Szeeman ou celles d’Eric Troncy, les commissaires d’exposition sont considérés comme auteurs, ils choisissent les œuvres et les artistes et les mettent en espace de manière à faire sens, les expositions sont donc des œuvres.

Voir une œuvre d’art...

Apprendre à voir commence par la curiosité et le goût de la découverte. Regarder une œuvre d’art est une expérience individuelle qui produit une émotion, laquelle conduit à la réflexion. L’expérience esthétique est d’abord sensitive, perceptive, puis intellectuelle, elle conduit à un savoir. Comme toute expérience, une œuvre d’art renouvelle notre perception du monde, elle nous change. Les œuvres d’art contemporain ne se donnent certes pas immédiatement, écouter l’œuvre c’est d’abord ménager un temps pour laisser vagabonder son esprit, son imaginaire, sa sensibilité. Faire des associations d’idées, des fondu-enchaînés de plusieurs pensées, des liens avec d’autres œuvres, d’autres artistes, d’autres domaines, la vie quotidienne, permet de rebondir sur des concepts plus larges, des notions collectives, etc. Penser c’est faire des rapprochements inédits. Ainsi, développer un point de vue, cela commence par la description, de là découle la construction d’un jugement argumenté au-delà des idées préconçues. Il n’y a pas de vérité sur une œuvre mais toujours un questionnement, une critique est toujours discutable.
Le sens d’une œuvre n’est pas arrêté, c’est la poétique de l’œuvre ouverte. Il y a une indétermination, une incomplétude de l’œuvre qui échappe à son créateur dès lors qu’elle est montrée. Le spectateur se l’approprie et l’enrichit de ses réflexions et interprétations personnelles. Connaître les intentions de l’artiste, le contexte de création de l’œuvre, l’histoire de l’art est « un plus » qui n’est pas obligatoire.
Pour apporter ces éléments d’informations complémentaires, des médiateurs culturels sont présents dans les lieux d’art contemporain, ils accompagnent ceux qui le souhaitent dans leur visite. La vocation ultime du médiateur est sa disparition ! À chacun de laisser libre son esprit face à l’œuvre, de la faire sienne.
Pour savoir il faut tenter de voir, pour savoir il faut imaginer. Lâcher prise, regarder l’œuvre et se laisser regarder par elle.

par Emmanuelle Boireau

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28 septembre 2007 5 28 /09 /septembre /2007 18:46
Art-médiation est à la disposition du public d' amateurs d' art pour le renseigner sur l' existence de la côte des oeuvres des artistes.

contact Art Médiation :
Jean-Loup Bezos
06 07 15 88 62
artmediationlandes@wanadoo.fr

La  cotation  officielle des oeuvres passe obligatoirement par des
prix de ventes obtenus à l' occasion de ventes aux enchères publiques initiées par des experts et animées par des commissaires priseurs. Les prix moyens  obtenus au cours des dernières années dans ce cadre  permettent de dégager une estimation officielle moyenne pour les  oeuvres concernées .

En dehors de ce système de cotation, il  existe également un prix moyen défini  par la galerie en accord avec l' artiste dont elle vend les oeuvres. Ce prix est appelé : prix public.  Il s' agit d'un prix négocié dans le cadre de contrats écrits ou verbaux entre les artistes et  leurs galeries. Généralement  ce prix est négocié par le marchand  à la baisse par rapport au prix pratiqué par l' artiste dans son atelier. Le prix est estimé à la baisse de manière à ne pas handicaper la vente en galerie. En effet la galerie devra  majorer le prix atelier de la commission sur vente qu' elle pratique ( en général + 50°/). Le prix de vente ainsi obtenu d' un commun accord doit être proche du  prix que pratique l' artiste dans son atelier afin  qu' il ne puisse nuire à la vente en galerie. Dans le cas d' un artiste en galerie n' ayant pas bénéficié de ventes aux enchères,  la meilleure source d' information pour connaître le prix moyen est la galerie habituelle de l' artiste

Ces 2 moyens de régulation des prix :
1- vente aux enchères
2- vente en Galerie
permettent de garantir  à moyen terme une constante du prix d'achat permettant d' assurer  à l' acheteur des conditions de revente dans les meilleures conditions possibles.

L' achat direct à un artiste dans son atelier, à un prix défini par
lui, ne peut offrir des garanties de revente. Cependant l' achat en atelier place le client , à la place du marchand comme premier interlocuteur d' un artiste. En temps qu' amateur d' art, s' il est capable de parier sur l' avenir de la carrière d' un artiste dont il estime la qualité du travail, il préférera acheter directement à l'artiste dans son atelier. A moins qu' il s' agisse d' un achat de plaisir dont la motivation principale  reste l'envie irrésistible d'acquérir une oeuvre. Il arrive parfois que ces achats coups de coeur réservent de belles surprises aux héritiers d' un amateur d' art .

L' histoire de l' art est semée d' anecdotes sur ce sujet : elles concernent tous ces  "investisseurs", qui au cours du 19 ème siècle, ayant préféré investir dans les oeuvres d' artistes reconnus plutôt que d'acheter dans leurs ateliers les Van Gogh, Gauguin et autres Cezanne ont manqué de faire la fortune de leurs héritiers. Au 19eme siècle, l' avènement d' une clientèle américaine enthousiaste priva une France frileuse en matière d'art moderne des chefs d' oeuvre qui furent réalisés à l' époque sur son sol. Personne ne voulait acquérir en France toutes les oeuvres qui font aujourd' hui la gloire des grandes collections américaines. Ainsi New York  est devenue la place forte de l' Art Contemporain au détriment de Paris .

Cependant, l' estimation de la valeur moyenne d' une oeuvre  ne peut se faire que par les moyens des ventes officielles : ventes aux enchères ou en galeries. Dans le cadre de ce commerce institué le prix moyen reste un indicateur utile pour la revente à plus ou moins long terme. Alors que le prix demandé par l' artiste dans son atelier est exclusivement subjectif. Tant que l' institution commerciale ne l'atteste pas, il peut être remis en cause passé la porte de l'atelier.

Nous ne disposons donc d' aucuns moyens nous permettant d'évaluer objectivement les prix pour la revente d' oeuvres  achetées en atelier. S' agissant d' artistes n' ayant pas une relation régulière avec une ou plusieurs galeries et dont les oeuvres n' auraient bénéficié d' aucune ventes régulières aux enchères, nous ne pourrons vous fournir aucune indication de prix moyen  négociable. Mais, sachez qu' un  coup de coeur peut en entraîner  bien d' autres. Pour  affirmer  sa réputation un artiste a besoin d' une clientèle d' amateurs la plus vaste possible.  Vous devrez défendre auprès de vos amis, de vos connaissances les artistes dont vous aimez les oeuvres. L'avenir de vos investissements dépend  aussi de votre capacité à faire partager vos choix, pensez y ! "

 

©2006 Art Médiation 9, rue Frédéric Bastiat 40000 Mont de Marsan | Contact


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  • : La Fenêtre - ARTOTHEQUE de la Maison de la Création Notre local se trouve au rond point de la Madeleine 69440 ST MAURICE SUR DARGOIRE. Ouvert tous les samedis de 16 h à 18 h et sur rendez-vous au 04 78 81 88 63 ou au 04 89 44 90 44
  • : Depuis plus de deux ans nous avons le plaisir de vous accueillir à l'Artothèque "La Fenêtre". Cette année nous vous proposons de découvrir les œuvres de nouveaux artistes français et étrangers qui vont enrichir notre collection et vous offrir encore plus de choix. Merci de continuer à participer à notre aventure.
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