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29 avril 2009 3 29 /04 /avril /2009 23:55


 Art figuratif, art abstrait, sculptures, assemblages, peintures

 les enfants sont très attentifs à ce nouveau vocabulaire plastique.
Cette séance découverte a été un moment de  vrai bonheur entre les enfants et les artistes de l'artothèque.
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24 avril 2009 5 24 /04 /avril /2009 18:40

C'est ici que nous vous accueillerons Samedi 16 mai, d'ici là les platanes auront sans doute retrouvé toutes leurs feuilles.
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23 avril 2009 4 23 /04 /avril /2009 22:17
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23 avril 2009 4 23 /04 /avril /2009 12:37
LES ARTISTES DE L'ARTOTHEQUE "LA FENETRE VOUS ATTENDE

SAMEDI 16 MAI A PARTIR DE 18 H POUR L'INAUGURATION DE NOS NOUVEAUX LOCAUX.


L'ARTOTHEQUE SE SITUE A LA MADELEINE
AU GRAND ROND POINT EN DIRECTION DE GIVORS A DROITE SE SERA FLECHE.....



A SAMEDI.....VOUS POUVEZ VENIR AVEC DU SUCRE SI LE COEUR VOUS EN DIT...


LES FILLES DE LA FENETRE
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28 février 2009 6 28 /02 /février /2009 21:13
Demain à partir de neuf heures, nous nous réuniissons pour faire un déménagement collectif.
Nous allons investir les locaux de la madeleine. (ancienne garderie destrois petits chats).)
Nous pourrons vous accueillir dans  nos nouveaux locaux à partir de  la mi-avril.
 A très bientôt...
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13 février 2009 5 13 /02 /février /2009 23:22

Gardons le CAP !
Le Centre d'arts Plastiques de Saint-Fons a été fondé en 1986. Depuis 22 ans, il a exposé 157 artistes dans 117 expositions. Sa politique d'expositions d'envergure nationale, son soutien à la jeune création et aux artistes vivant en Région, ses actions de médiation en direction des habitants de la ville sont depuis lors reconnus par toute la profession.
Tous ces liens tissés patiemment d'année en année viennent d'être brutalement rompus par la nouvelle municipalité de gauche.
En effet, le Centre d'Arts Plastiques est privé de son espace et outil de travail - salle d'exposition, artothèque, documentation et atelier de pratique artistique et menacé de fermeture. Sans lieu d'exposition, quelle existence pour un centre d'art, quelle existence pour l'oeuvre et pour l'artiste, quel espace de rencontre entre la création et son public ?
Le CAP de Saint-Fons est un des derniers centres d'art de la périphérie lyonnaise et doit conserver la place essentielle qui est la sienne dans le paysage artistique de la région Rhône-Alpes. Nous ne pouvons accepter sa disparition. Nous demandons donc à la municipalité de Saint-Fons de rouvrir de toute urgence le Centre d'Arts Plastiques dans des locaux adaptés aux besoins professionnels de la diffusion et de la médiation de l'art contemporain.
http://www.sos-cap.fr/  

Il est désormais possible de signer la pétition en ligne : http://www.sos-cap.fr/

Une petition qui demande à la mairie de Saint Fons :
de rouvrir de toute urgence le Centre d'Arts Plastiques dans des locaux adaptés 
aux besoins professionnels de la diffusion et de la médiation de l'art contemporain.



 

Merci de diffuser cet info le plus largement possile
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24 janvier 2009 6 24 /01 /janvier /2009 13:57
Les discours du Président de la République méritent toute notre attention ( voir discours intégral link
 parce qu’ils sont pour lui souvent l’occasion d’expliciter les grands principes de son action. Les «Vœux aux acteurs de la culture», prononcés le 13 janvier au Carré d’Art de Nîmes, sont à cet égard d’une redoutable éloquence.
Par delà les promesses, vraies-fausses annonces, petites attaques et bons mots qui polarisent l’attention et saturent les propos des commentateurs, le discours déroule une très claire formulation de la conception présidentielle du monde et de la culture d’aujourd’hui.
En raison du lien appuyé établi entre la culture et l’identité nationale (le terme «identité» est employé 31 fois), on ne peut s’empêcher de voir se profiler derrière le ministère de la Culture l’image fantomatique d’un autre ministère, le tristement célèbre ministère de l’Immigration et de l’Identité nationale.

On s’effraie ainsi devant cette impression que la politique culturelle et la politique de l’immigration ne seraient que deux faces d’une même politique globale marquée du sceau de l’identité nationale. Christine Albanel serait ainsi la version positive de Brice Hortefeux qui brandit avec une indécente arrogance son score de l’année 2008 durant laquelle 29796 étrangers ont été reconduits à la frontière.
Un frisson nous envahit à l’idée que le ministère de la Culture et celui de l’Immigration seraient l’un et l’autre au service d’une même politique identitaire, le premier procédant par l’addition de projets et de réalisations, et le second par la soustraction des expulsions.

La ville de Nîmes et le Carré d’Art ont ainsi été très explicitement choisis pour inscrire la culture dans une problématique identitaire de territoires, de racines, d’origines. Installée par le discours au cœur d’un enchâssement de territoires, Nîmes — cette «grande ville antique, romaine, hispanique, camarguaise, provençale, languedocienne, française, méditerranéenne, européenne» — est élevée au rang éminemment politique de «haut lieu de notre identité et de notre culture». Tandis que l’harmonieux dialogue des architectures contemporaine et antique du Carré d’Art et de Maison Carrée vient «marier l’identité et la modernité», c’est-à-dire procéder à une très politique rénovation de la notion d’identité à partir de ce principe qu’«être fidèle à son identité c’est se tourner vers l’avenir, et non pas vers le passé».

La situation géographique de Nîmes permet en outre de raccorder le discours à la perspective d’une Union pour la Méditerranée, d’évoquer un vague projet de «grand Musée des Arts et des Civilisations de la Méditerranée», et d’insister sur cette idée que «nos racines, nos origines trouvent corps dans ce bassin méditerranéen» pour encore rénover la notion d’identité en la sortant, cette fois, des limites strictes du territoire national.

Si l’identité est ainsi dynamisée par son extension temporelle à l’avenir et par son ouverture géographique à tout le bassin méditerranéen, elle n’en reste pas moins le pivot de la politique commune de la Culture et de l’Immigration, le lien souterrain entre les actions apparemment contraires, mais en réalité appariées, de Christine Albanel et de Brice Hortefeux.

C’est ce lien qui fonde le caractère schizophrénique du discours du chef de l’État; qui peut en effet déclarer devant un auditoire culturel être «pour le métissage, la tolérance, pour l’addition plutôt que pour la soustraction»; qui peut prôner les vertus de «la rencontre, du dialogue et de l’échange»; et qui inspire par ailleurs, en matière d’immigration, une politique éminemment soustractive d’expulsion, de rejet de l’autre, de refus des différences et de stigmatisation des étrangers (au moins ceux originaires des pays du sud de la Méditerranée).

La culture est ainsi très directement utilisée à des fins idéologiques et politiques. Et son instrumentalisation est encore accentuée par la «crise sans précédent» qui nous touche.
Qualifier cette crise de «crise morale et culturelle» plutôt que de crise financière, économique ou sociale, permet d’y impliquer directement la culture — et de minimiser les responsabilités des milieux économiques.
Dès lors, la culture ne sert plus seulement à renforcer, à dynamiser, à faire «rayonner» l’identité nationale, elle devient le principal rempart contre des menaces qui pèseraient moins sur nos revenus, nos conditions de travail et nos moyens d’existence, que sur le sens et les valeursmêmes de la vie. «Il y a un besoin de sens et un besoin de repère dans la crise que nous traversons. […] C’est là où la culture a toute sa place».

La notion de «crise morale et culturelle» donne à la crise un spectre large, et permet d’avancer le (faux) postulat selon lequel elle serait le fait d’une responsabilité collective, d’un «égarement collectif», d’une «perte collective du bon sens, du sens de la mesure», toutes expressions qui occultent et exonèrent les actions frauduleuses d’un certain nombre de dirigeants de banques et d’entreprises.
Si, effectivement, «la culture a toute sa place» dans la logistique du pouvoir face à la crise, c’est pour servir à brouiller la réalité des responsabilités, et les écarts énormes qui se creusent entre les bénéficiaires et les victimes.

S’il fallait se convaincre encore de la frénésie du pouvoir à instrumentaliser la culture, c’est-à-dire à la nier, on pourrait examiner l’écart entre les promesses et les faits, entre les projets annoncés et la réalité des budgets débloqués. Mais il suffira de se reporter à ce propos du Président selon lequel «les artistes sont ceux qui rêvent la société, la décryptent, l’interprètent, prédisent l’avenir, préviennent les risques : sans les artistes la société mourrait».
L’artiste en rêveur, en sociologue, en gourou prédicateur d’avenir, voire en chef de la sécurité nationale, et même en principe vital de la société. Devant tant de responsabilités qui leurs sont attribuées, assurément «sans les artistes la société mourrait». Mais au-delà des mots, la réalité est plutôt celle-ci : dans cette société, trop d’artistes, empêchés de créer, sont condamnés à mourir.  André ROUILLET : PARIS ART : 22 JANVIER 2009


c
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23 janvier 2009 5 23 /01 /janvier /2009 18:34
C'est à la galerie test du bailler à Vienne, qu'Anne et Jocelyne vous acueilleront avce plaisir pour le dernier week end de leur exposition
(voir photos dans catégorie expos/art contemporain)
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19 janvier 2009 1 19 /01 /janvier /2009 19:49
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17 janvier 2009 6 17 /01 /janvier /2009 19:06
Parce que l’information est devenue l’une des principales armes de la guerre, les militaires doivent l’utiliser désormais avec la plus grande précision possible. A Gaza, l’armée israélienne a ainsi choisi de tenir la presse internationale totalement à l’écart du théâtre des opérations militaires. Et de condamner les journalistes et reporters à suivre les combats à distance, en spectateurs rendus sourds et aveugles, désarmés devant l’un des plus graves conflits du moment. «Un équilibre délicat doit être maintenu entre une politique élémentaire d’accès à l’information et des circonstances exceptionnelles de guerre qui nécessitent, autant que possible, de laisser l’armée faire son travail», explique Zeev Segal, professeur à l’université de Tel-Aviv (Libération, 6 janv. 2009). En ces «circonstances exceptionnelles», il se confirme que tuer est un «travail», peut-être le plus vieux du monde. Un travail inséparable de formes de visibilité, d’une modélisation des flux d’images, de mots et de sons. A chaque conflit, donc, ses formes de visibilité en fonction de la façon dont «l’armée fait son travail», du degré de sophistication de l’arme informationnelle, des contextes idéologiques de la guerre, et des rapports de force sur le terrain. Là encore, c’est la raison du plus fort qui prévaut. A Gaza, l’information visuelle diffère radicalement de celle qui a prévalu durant la guerre du Vietnam d’abord, la guerre des Malouines ensuite, et surtout la guerre du Golfe (1991). Après la profusion incontrôlée des images de sang et de mort qui ont été, durant la guerre du Vietnam, quotidiennement relayées par la presse et la télévision jusqu’à affecter profondément les opinions publiques, après la prohibition absolue des Malouines, la guerre du Golfe n’a pas été, comme on l’a trop dit, une guerre sans images, mais une guerre dans laquelle les traditionnelles vues photographiques ou télévisuelles prises au plus près des combats ont été remplacées par des images électroniques aériennes, prises depuis des avions ou des satellites. La stratégie militaire se doublait d’une stratégie politique de figuration, dont la chaîne américaine CNN était le principal opérateur. L’informatisation généralisée des armes et la suppression de toute trace concrète des combats ont donné à ce conflit la forme désincarnée d’un immense jeu vidéo. La guerre devenue ainsi ludique et abstraite pouvait être acceptable, sinon acceptée. Alors que des génocides se sont menés, ou se mènent encore, notamment en Afrique, dans une invisibilité presque totale en raison de l’indifférence de la communauté internationale, il en va différemment au Proche Orient qui est sous les regards permanents de tous les observateurs du monde. Cela a obligé Israël à adopter une «politique élémentaire d’accès à l’information», tandis que le «travail» de l’armée, prévu pour être excessivement coûteux en vies de civils et d’enfants palestiniens, devait être maintenu à l’abri des regards libres et indépendants de la presse internationale extérieure au conflit. La solution mise en œuvre par l’armée israélienne est donc de plonger Gaza dans un redoutable et savant huis clos. D’une part, en interdisant totalement à la presse internationale d’accéder à la zone des combats, et même de s’en approcher en établissant une zone tampon de plusieurs kilomètres autour du territoire palestinien. D’autre part, en n’accordant le droit de rendre compte des événements qu’aux seuls journalistes palestiniens travaillant à Gaza pour des médias internationaux. Enfin, en diffusant largement sur tous les médias du monde des images produites par les services israéliens de l’information militaire. Le double objectif de limiter ainsi le nombre et l’impact international des images, et de déjouer les accusations de blocus total de l’information paraît être atteint, au moins quantitativement: «Peu de gens en dehors de Gaza mesurent l'horreur de la situation», constate John Ging, responsable de l'ONU à Gaza (Le Monde, 7 janv. 2009). L’armée israélienne a délibérément sacrifié l’idée démocratique de circulation libre et sans limites de l’information à la nécessité de masquer la réalité de cette guerre dont la proportion des victimes civiles pourrait bien contrevenir à la convention de Genève, et prêter le flan à des accusation de «crimes de guerre». Il faut à cet égard l’aplomb d’un André Glucksmann pour négliger la trop évidente disproportion des victimes de part et d’autre, et dénoncer le «bien pensant
reproche de réaction disproportionnée» qui est largement adressé à l’intervention israélienne à Gaza (Le Monde, 6 janv. 2009).

Si l’on doutait encore que l’information est une construction idéologique plus que l’expression transparente des faits, cette guerre en attesterait dramatiquement l’évidence. Censurée ou non, l’information est construite, mais il apparaît ici encore qu’elle l’est d’une façon qui reflète les conditions et circonstances de sa production, en l’occurrence l’état  des relations qu’entretiennent les parties en présence.

Le protocole informationnel draconien en vigueur n’est en fait qu’une version du blocus auquel était déjà soumis Gaza avant le conflit. Une évidente similitude relie en effet la façon dont les journalistes Palestiniens sont mis en situation de projeter vers l’extérieur leurs images et leurs textes, et la façon dont le Hamas harcèle de ses roquettes les villages israéliens alentours.
Hermétiquement bouclés dans un périmètre restreint dont ils ne peuvent pas sortir, les images et les roquettes sont autant de signes que les Palestiniens lancent au monde par delà leur huis clos: des appels, des témoignages, des menaces, des colères, des insultes et des crimes.

Ces flux nécessairement ténus et dérisoires, aléatoirement meurtriers, évidemment inadmissibles, sont gorgés de la haine et du désespoir que l’intégrisme religieux du Hamas a su exploiter, et que l’offensive israélienne veut détruire, au prix d’immenses souffrances et toujours plus de victimes…


André Rouillé. chroniqueur de PARIS ART)

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